Aujourd'hui, je vous partage mon avis sur l'attraction des astres de Phil Stamper. 

Résumé : 

À 17 ans, Cal est un influenceur à succès. Près d'un demi-million de followers scrutent attentivement le moindre de ses faits et gestes. Et sa popularité s'amplifie encore lorsque son père, un célèbre astronaute, est choisi pour effectuer la première mission qui ira sur Mars. Toute la famille doit alors déménager de New York à Houston, au Texas. Pour Cal, c'est un déchirement. Il quitte ses amis, ses petites habitudes et se retrouve à devoir vivre en cercle fermé dans un village réservé aux familles d'astronautes. Jusqu'au jour où il fait la connaissance de Leon, un autre « Astrokid » de son âge, sensible et mystérieux. Rapidement, les deux garçons se rendent compte qu'ils veulent être plus que des amis. Mais au centre de la pression médiatique, il est bien difficile de laisser un premier amour naître et s'épanouir...

Mon avis : 

Calvin Junior aime vivre à New York. Il y a sa meilleure amie, Deb, les lieux où ils tournent ses videos pour Flash Fame et surtout, il va bientôt commencer le stage de ses rêves.

Mais tout s'écroule quand son père est choisi pour être le dernier candidat au projet Orpheus, qui a pour objectif d'aller sur Mars. Cal doit tout quitter du jour au lendemain.

Ce livre était dans ma PAL depuis sa sortie. J'ai enfin trouvé un moment pour l'en sortir et j'avoue que c'est un avis mitigé.

Pour commencer, j'ai beaucoup aimé le sujet qui mêle projet spatial et téléréalité. Je trouve ça hyper innovant. Pourtant, je suis passé un peu à côté. J'ai eu du mal à accroché au passage qui concerne l'émission "étoiles filantes".

En revanche, j'ai apprécié la rebellion de Cal, même si, au départ, ce n'est que par égoisme. Ses choix apportent un peu de dynamisme au texte.

Maintenant, les personnages.

J'ai aimé l'évolution de la relation familiale de Cal. J'ai aussi apprécié les liens qui se sont noués entre Kat, Leon et Cal. Par contre, la romance m'a laissé de marbre. Elle est arrivé beaucoup trop rapidement à mes yeux.

Et j'ai trouvé aussi dommage que le sujet de la dépression ne soit pas plus détaillé.